Né en 1881, il se retrouve orphelin très jeune et obligé de mendier pour nourrir ses frères et sà Âurs. En 1909, il a une révélation au fond de la mine. Une voix lui indique quâÂÂil soignera les malades et obtiendra leur guérison.

Malade et incapable dâÂÂêtre soigné par la médecine traditionnelle, il se tourne vers trois guérisseurs douaisiens qui reconnaissent en lui, leur successeur.

àpartir de 1910, il dispense son don et le fera jusquâÂÂàsa mort. Comme il refuse les gratifications, il poursuit son travail àla fosse où il demande un emploi en surface afin de disposer de ses soirées pour rendre visite àses patients. CâÂÂest àvélo quâÂÂil sillonne le département et même plus loin.
En 1953, il bénéficie dâÂÂune retraite bien méritée. Il consacre désormais tout son temps àsoigner ses concitoyens. Sa méthode consiste en lâÂÂimposition de ses mains avec lesquelles il sâÂÂoccupe des corps, mais aussi des âmes.
Une rue ÃÂ son nom
Si certains malades lui offrent de lâÂÂargent, il le redistribue aux plus nécessiteux et à Âuvres sociales de la commune. La médecine classique et le clergé tolèrent et admirent son activité, la population le considère comme un saint. Il est nommé chevalier, puis officier de lâÂÂordre du mérite.

Quand on lui conseille de monnayer son don, il répond  : ë   je ne suis pas sur terre pour amasser, mais pour dispenser Ã». Il laissera quand même une petite somme àsa veuve. Il avait créé et présidé lâÂÂInstitut des Forces Psychosiques dont la façade était encore visible, il y a quelques années au 36 de la rue de lâÂÂégalité.
AujourdâÂÂhui, il reste une dernière trace de ë   Papa Jules Ã», puisque la municipalité a baptisé une rue àson nom.
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